Collection Escorte Boy. Le Pied A L’Étrier (1/1)

COLLECTION ESCORTE BOY. Le pied a l’étrier (1/1)

• Yann, es-tu libre demain après-midi ?
• Enzo, tu sais bien que je suis au chômage après avoir arrêté mes études avant ma formation de régleur de machines d’usines, le prof principal me cassait les burnes.
• Tu as du pot, je bande toujours.

Pour bander, je bande, depuis tout petit, je suis complexé ce qui a rendu impossible la possibilité de faire du sport et de flirter avec des filles, pourtant, j’ai 22 ans.
J’ai eu mon problème dès ma naissance, les infirmières se relayaient pour me changer, mon cerveau a dû enregistrer leurs réflexions sur la taille et la grosseur de mon sexe.
Adolescent, la bosse faite par mon pantalon au repos bien sûr, a aggravé mon sentiment de difformité.
Mes premiers émois m’ont confirmé que quelque chose clochait avec mon sexe, j’envoyais des cartes postales qui ravageaient mon lit, je m’empressais de le faire afin que maman ignore mon infirmité, tellement je tachais mes draps.
De ces moments à ce jour, j’ai réussi à cacher mon sexe, me masturbant régulièrement afin de me vider les couilles, grosses comme des balles de tennis et ainsi de protéger mes draps.

Arrive, cette demande d’Enzo.

• À 14 heures, je vais passer te chercher, nous irons faire du squash à ma salle de sport.
• C'est un sport que j'ai vu, j'aimerais le pratiquer.
• Je t’apprendrais, je suis souvent libre l’après-midi grâce à mon métier, mais tous mes potes travails à ces heures-là, ils ne sont libres que les week-ends, or souvent, je travaille ces jours-là.

Enzo est représentant de commerce, nous ignorons ce qu’il vend, mais étant d’une nature discrète, j'ai occulté ce détail, bref, il vend des choses.
J’accepte donc, il est vrai que comme mon sexe, j’ai bien poussé, je mesure deux mètres pour cent kilos pilent, certains disent que je suis une belle bête.
Le lendemain, il passe me chercher avec sa Porche des années 60, mes indemnités m'empêche de me payer un tel bolide et frimer comme lui, bien qu'aucune femme ne l'accompagne.


Puceau, mais pas inculque, j’espère qu’il est juste hétéro et qu'il va ignorer ma rondelle.

Que dire de la partie, après avoir enlevé mon survêtement et mis mon short, Enzo ignore que j’ai un gros problème, j’en prends plein la figure au début, mais à la fin, j’arrive à le faire suer en marquant quelques points ?
De retour au vestiaire attenant à la salle, je vais pour remettre mon survêtement.

• Yann, et l’hygiène, je te croyais plus porté sur l'hygiène, après une partie comme celle-là, la douche est obligatoire.

Pour la première fois, je suis coincé.

• J’ai oublié mon nécessaire de toilette.
• Où crois-tu que je t’ai emmené, mon club est un club de haut standing, va dans les douches, tu ouvres l’armoire, tu trouveras tout ce qu’il te faut, ils vont même jusqu’à mettre des capotes ?

Disant ces mots, il enlève short et sous-vêtements se montrant nu, il est aussi difforme que moi, et pourtant, il ne semble avoir aucun souci comme je peux en avoir, je défais mes affaires rassurées.

Nous passons sous la douche, c’est la première fois que je suis nu avec un autre être humain, il se savonne sans un regard sur mes attributs, complètement rassuré, nous allons au bar ouvert autant que la salle.

• Salut Geneviève, tu viens éliminer tes toxines, nous, nous avons terminé.
• Dommage, serais-tu libre demain à quinze heures ?
• Pour toi, je suis toujours libre, il suffit que tu m’appelles.
• Ma boîte me crève, mais j’arrive à dégager un peu de temps, c’est le cas aujourd’hui et demain, amène ton copain black, vous verrez, je vais vous faire courir.
• Tu es partant Yann, je le suis.
• Oui.
• Super, je réserve la salle, au tarif habituel, bien sûr, multiplié par deux.

J’avais oublié de vous dire, je suis noir, mon père et ma mère sont sénégalais, ils sont venus faire leurs études à Paris et y sont restés, je suis leur seul fils.

Enzo est aussi noir que moi, mais un peu plus claire, il est martiniquais.
Quant à Geneviève, blonde, environ quarante ans, quand elle parle de multiplier par deux, elle doit vouloir dire qu’elle paye la salle pour nous deux.

À l’heure dite, la Porche est au pied de l’escalier de l’immeuble à loyer modéré de la ville de Paris porte de Saint-Cloud à deux doigts du Parc des Princes, ou j’habite avec mes parents, nous rejoignons la salle toute prête du Bois de Boulogne.
Geneviève est déjà dans la salle à taper des balles, elle est en jupette et débardeur rose, socquettes et chaussure de sport de même couleur.
Je passe sur les parties de squash, j’essaye de rattr les balles, j’y arrive de temps en temps, mais peu.

• Merci les garçons, ça met en jambes, vous m’avez fait éliminer tous les restos que j’ai faits ces temps-ci, à la douche, passons aux choses sérieuses.

De retour dans le vestiaire, elle ouvre son sac, sort une enveloppe qu’elle donne à Enzo.

• Vérifie si tu veux, mais le compte est bon.
• Je te fais confiance.

Sans que j’aie le temps de faire quoi que ce soit, elle commence à faire tomber tous ses vêtements nous apparaissant dans toute sa nudité et dans la plénitude de sa quarantaine.
Est-elle blonde naturelle ou intégralement rasée, aucun poil que ses cheveux peuvent me renseigner ?
Nous la rejoignions, seule avec deux mâles, elle semble à son aise, elle se savonne, avant que j’aie le temps de faire quoi que ce soit, elle me saisit la verge avec ses mains et j’ai le droit moi aussi à un massage de mon sexe.
Enzo vient derrière elle et lui savonne les seins, elle tourne sa tête et je vois sa grosse langue entrer dans sa cavité buccale, elle le quitte pour m’embrasser, c’est la première femme à qui j’offre à mon tour ma langue très épaisse, elle aussi.
Je bande, elle me rince et passe à la verge d’Enzo.
Il me prend la main et la place dans la chatte de cette salope, ou simplement une femme aimant les hommes.

Je me garde bien de leur dire que c’est ma première fois, je veux éviter de passer pour un idiot, ma verge semble être de bonne proportion pour elle, alors pourquoi pas d’autres dans les temps futurs.
En attendant, nous sommes propres comme des sous-neufs, elle s’agenouille et commence à nous sucer à tour de rôle, en faisant ce geste, mes doigts sortent de sa chatte qui dégouline bien que ce soit difficile à voir l’eau tombant du haut sur nous.
Elle nous libère, Enzo va chercher des serviettes et elle nous essuie un coup à droite, un coup à gauche.

• J’ai bien vu hier au bar, le paquet que nous présentait ton ami était fort appétissant, je suis satisfaite, il te vaut bien.

Encore une phrase qui aurait pu me mettre la puce à l’oreille, la jolie blonde nous entraîne dans le vestiaire, Enzo suit avec un paquet de serviettes propres qu’il met au sol.
Geneviève se place en levrette et att la bite la plus proche pour se la mettre dans la bouche, c’est Enzo le vainqueur dans un premier temps.

• Enfile là, la salope, elle adore ça, elle est tellement accro aux sexes qu’à nous eux on va pouvoir la satisfaire.

Je suis content de ce dont il m’arrive, je vois que je suis normal, surtout quand m’étant agenouillé derrière notre chienne en chaleur, mon sexe tendu pénètre dans sa chatte.
Une grande partie reste à l'extérieur, je suis si long, mais la grosseur semble à son goût, pendant ce temps, Enzo la prend par ses oreilles et se masturbe dans sa bouche.
Elle rut littéralement quand elle jouit, je dois m’accrocher à ses hanches avant que mon pote et moi, de chaque côté nous lui envoyions de grosses rasades de sperme.
Les jets d’Enzo sont si puissants qu’il finit sur son visage, laissant de grandes traînées de liquide visqueux, elle prend un doigt et après avoir recraché le sexe encore dur, elle récupère tout ce qu’elle peut.
Je viens de perdre mon pucelage, mais rapidement, je vais découvrir un autre plaisir, Enzo se couche sur les serviettes, Geneviève en experte vient s’empaler sur lui.


• Yann encule là, c’est un autre de ses plaisirs, défonce là, tu vas entrer comme dans du beurre.

C’est ainsi qu’en quelques minutes, je défonce une chatte et un anus, tous les deux fort accueillants, nous vidons de nouveau nos couilles, la belle après avoir nettoyé nos queues avec sa langue, nous reprenons le chemin des douches.
Nous en faisons de même et la retrouvons, après être habillé, nous quittons le club, elle nous embrasse et part vers sa voiture, un coupé sport Mercedes, nous allons au bar.
Enzo sort l’enveloppe et me tend une liasse de billets de 100.

• Tiens, voilà les 1 000 € que tu as gagnés.

Il attend ma réaction.

• 1 000 €, pourquoi ?
• Je vais tout t’avouer, je suis ce que l’on appelle une escorte boy, Geneviève est une cliente qui aime les hommes bien montés, comme elle j’ai depuis longtemps remarqué la masse de tes couilles et de ta verge au repos.
Te voyant au chômage, j’ai eu l’idée de t’engager sans te le dire, j’ai créé un site ou mes escortes sont proposées aux clientes, ces 1 000 €, c’est ce qu’elle a payé pour toi, j’ai prélevé les frais de gestion du site.
Si tu le veux, on fait des photos montrant tes attributs et tu travailles pour moi.

Ça fait cinq ans que je fais l’escorte, j’ai une clientèle de premier choix, quelquefois âgée, mais qui a les moyens de me payer 5 000 € la nuit, parmi mes clientes, j’ai une bonne sœur, je l’ai su par Enzo, c’est la mère supérieure d’un couvent qui vient à Paris chez ses parents.
Une autre m’a fait connaître les milieux échangistes, elle me donne 10 000 € pour me voir prendre des femmes mariées devant les yeux de leurs maris, quelques fois, comme avec Geneviève, nous les prenons avec leur mari en double pénétration.
J’ai pu voir que j’étais bien monté, mais que mon complexe de jeunesse était une grosse bêtise, elle raffole de ma grosse verge.

Côté argent, je suis blindé, j’aide mes parents qui pensent que je suis un cadre dans le milieu du sport, car je vais fréquemment faire du squash avec Enzo, Geneviève qui reste notre cliente.
Je roule avec une Audi sport toutes options, je loue un appartement ou je peux recevoir mes clientes dans le cœur le plus huppé de Paris.
Dans notre club, je fais du culturisme, contrairement à ce que l’on pense, ma virilité est toujours active du fait que je soulève de la fonte, au contraire mon sexe est de plus en plus tendu pour ces dames, mais surtout pour le pognon que cela me rapporte.

Merci à Enzo de m’avoir mis le pied à l’étrier !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!